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LE BURN-OUT

LE BURN-OUT

J’aborde le sujet dans mon livre condamner au succès, mais le sujet est tellement intéressant et me touche de tellement près que j’ai décidé de faire une échappée belle en lui  consacrant un article dans mon blog.

Récemment, l’organisation mondiale de la santé, (OMS) vient d’intégrer le burn-out dans sa classification des maladies (CIM-11) sous l’appellation “phénomène lié au travail.” Le burn-out est dû très souvent à une overdose de travail qui fait qu’arrive le moment ou parfois sans même nous en rendre compte. Ce phénomène lié au travail est une arme de destruction massive à large spectre qui a surpris plus d’un entrepreneur. Et c’est d’autant plus vrai quand on sait que nonobstant de provoquer un épuisement professionnel intense, le burn-out peut vous pousser le chef d’entreprise à se désintéresser de ce qui passionne le plus, à savoir, son projet, son entreprise, son équipe. Pire, l’entrepreneur peut éprouver le sentiment qu’il n’aime plus son travail, que tout cela n’a plus de sens. Il peut même arriver qu’il se sente inutile, qu’il perde toute motivation, qu’il envoie tout le monde balader, qu’il ressente de grosses difficultés, j’en passe et bien des pires. Par exemple, ne plus vouloir se rendre sur son lieu de travail, se déconnecter du monde du travail au point de le rejeter en bloc. Pas bon pour le business…

Le problème avec le burn-out c’est que si l’on ne sait pas reconnaître les symptômes, ils vous tombent dessus sans même que vous vous en rendiez compte. Pourtant les signes annonciateurs ne sont pas difficiles à reconnaître. Cela peut aller des troubles psychiques ou physiques tels que l’irritabilité, dégoût pour son travail, son cadre de travail, trouble du sommeil, maux de tête, sensibilité émotionnelle, perte de mémoire, de concentration, fatigue, perte de sensibilité, j’en passe et des biens plus gênants comme les troubles intestinaux, tensions, et dans les cas les plus graves, isolement social, une dépersonnalisation qui peut conduire à une addiction aux drogues, et/ou aux jeux qui représentent une échappatoire aux problèmes, voire, un comportement sexuel dangereux.

Beaucoup de gens font l’erreur de confondre la dépression mentale avec le burn-out, mais même s’il est vrai que l’un et l’autre ont des symptômes en commun, il ne faut pas les confondre. Comme je l’explique dans le chapitre du livre condamner au succès, la dépression, vous cloue au lit alors que le burn-out vous laisse sortir du lit, mais il diminue considérablement votre potentiel au travail. Un peu à l’image d’un portable qui démarre la journée la batterie pleine, mais qui mois de deux heures après et déjà dans le rouge…

Le mot de la fin.

Contrairement à ceux que pourraient penser certains, le burn-out concerne pas que les entrepreneurs, ils touchent aussi les salariés. Le seul point en commun, notable entre l’un et l’autre, est du au fait que les profils qui sont touchés par ce fléau sont ceux qui s’investissent corps et âmes dans leur travail et qui se laissent déborder par les heures de travail qui s’accumulent sans même qu’on s’en rende compte. Toutefois, il est vrai que les entrepreneurs perfectionnistes et les porteurs de projet qui gèrent tous les aspects du projet sont plus sujet à ce phénomène. Ce sont des proies toutes indiquées pour le burn-out et ce qui rends les entrepreneurs vulnerables, c’est que ces derniers semblent incapables d’établir une frontière entre la vie privé et la vie professionnelle qui leur serait bien utile pour éviter le pire.

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CE QUE NE T’A JAMAIS DIT TA DARONNE

“ce que n’a jamais osé te dire dit ta daronne”

Avant d’aller plus loin, je tiens à vous dire qu’en écrivant cet article, je suis conscient du fait que je ne vais pas me faire que des amis du côté de la gente féminine. Néanmoins mesdames, je fais appel à votre intelligence, suffisamment en tout cas, pour que vous reconnaissiez que tout n’est pas faux dans cet article, que rien n’est exagéré, et pour finir que je suis très proche de la vérité. Peut-être même que je suis la vérité qui crie tout haut ce que beaucoup pensent tout bas !! Et personne n’ignore, pas même les imbéciles que toute vérité n’est pas bonne à dire et pas bonne à entendre. Maintenant, essayons de détendre l’atmosphère. Pour ce faire, commençons par un trait d’humour qui me pousse à dire à tous ceux qui l’ignorent que lorsque les hommes épousent leur femme, ils le font en priant le ciel qu’elles ne changent jamais et de leur côté la grande majorité des femmes passent leur vie à essayer de changer leur mari pour qu’il devienne l’homme de leur rêve.

Mais c’est à croire qu’elles n’ont toujours pas compris qu’elles ne se sont pas marié avec une bouteille de vin qui se bonifie avec le temps. Chemin faisant, elles finissent par le réaliser, mais uniquement lorsque les carottes sont cuites. Certaines regrettent leur choix et tentent leurs chances ailleurs, et la grande majorité d’entre elles passent d’un problème à un autre. C’est tellement vrai qu’elles finissent par admettre qu’un homme reste un homme, sous-entendu, que les hommes viennent de mars et les femmes de Vénus… Fort de ce constat, elles finissent par abandonner l’idée du prince charmant et se résignent en se persuadant que si elles ne peuvent pas vivre avec l’homme qu’elles aiment, il va leur falloir apprendre à aimer celui qu’elles ont. Sous-entendu, tant qu’à vivre avec un connard, autant que ça soit le père de vos enfants.

Si vous le dites !!

Les hommes sont connus, pour être directs, c’est pourquoi quand les fils demandent à leur père ce qu’ils pensent du mariage, nombreux sont ceux qui s’empressent de leur répondre sur le ton de la confidence que le mariage est la seule guerre où tu dors aux côtés de ton ennemi et que le secret de la réussite dans le mariage c’est de ne jamais pousser sa femme à brûler la maison pour tuer une souris. Pour ceux à qui cela aurait échappé, il est aussi de notoriété publique que les mamans protègent leurs filles. C’est sûrement du au fait qu’elles ont appris à connaître les hommes et qu’elles savent ce qu’il en coûte de se sacrifier pour donner l’impression que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, ou devrais-je plutôt dire dans la famille. Elles le font parfois tant et si bien que leurs propres filles finissent par penser que leur mère est géniale !! La preuve, elle a réussi là ou beaucoup d’autres se sont pris des portes dans la gueule, voire, plus… Et comme une illusion n’arrive jamais seule, les fifilles à maman se mettent elle aussi dans l’idée de faire aussi bien que leur mère. Et comment pourrait-il en être autrement quand on sait que les daronnes passent le plus clair de leur temps à répéter en boucle “ trouve toi un homme bien ma fille”. Et quand sa fille lui répond, “tu veux dire un comme papa !?!” C’est l’heure de la vérité, qui comme vous le savez n’est jamais bonne à dire et jamais bonne à entendre, c’est la raison pour laquelle la mère répond à demi-mot, “ C’est ça ma fille, un homme comme ton père…”

[P….] de non-dits!!

En fait ce que la fifille à sa maman ignore ou fait mine d’ignorer parce que c’est bien plus simple et/ou que ça place la barre moins haute, c’est que sa mère rêverait de lui dire un truc dans le genre, “oui le même que ton père, sauf que lui c’est le modèle hors taxes, et que toi tu serais bien avisé de trouver le modèle avec une TVA, non pas à vingt pour cent, ni même à 100%, mais à 1000 %”

Seulement, voilà, dans la mesure où sa fille détient la mauvaise information, pour ne pas dire le mauvais exemple, elle se doute bien que cette dernière à toutes les chances de faire un mauvais choix en cherchant à épouser la copie conforme de son père. Malgré ce, elle ne fait rien. Pourquoi ? Parce que cela reviendrait à dire la vérité et peut-être même toute la vérité sur son couple qu’idéalise tant sa fille, ce serait prendre le risque de lui ouvrir les yeux, là ou bien souvent, il est préférable de tourner la tête et cela aurait aussi pour résultat de faire passer toute son existence pour un énorme mensonge.

Aussi quand leur fille chérie passe la porte de la maison pour présenter l’élu de son cœur, au premier coup d’œil, la mère devine s’il s’agit bel et bien d’un miracle, ou si au contraire, elle se trouve face à un miracle qui a toutes les chances d’accoucher d’un mirage.

Maman aurait pu éviter que sa fille lui ramène un ticket de loterie sur pattes. Mais…

[P….] de non-dits!!

Le mot de la fin.

Méfiez-vous des miracles qui accouchent d’un mirage.

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JE NE SUIS PAS TON PÈRE

Tu es jeune, beau, riche et la vie te sourit. Hé bien, laisse-moi te dire une chose mon gars, tu es dans la merde et tu ne vas pas tarder à comprendre pourquoi en lisant cet article, qui, j’en suis sûr ne va pas manquer d’en faire réagir plus d’une et faire rire plus d’uns. Néanmoins, je reste persuadé qu’après-avoir lu ces quelques lignes, plus d’une grande sœur ou d’un grand frère soucieux de voir le petit dernier de la famille ne pas se faire prendre pour un lapin de trois semaines, passeront la porte de sa chambre pour lui dire “ champion, si tu ne veux pas tomber sur une bourgeoise qui te fera croire que le saucisson est un fruit qui pousse dans les arbres, il faut absolument que tu lises ça. Possible que tu ne comprennes pas tout, mais j’suis persuadé que plus tard, tu me remercieras…” Ps : n’en parle pas à notre mère…

Il y a peu, j’ai lu un article rédigé par ce que je qualifierais de féministes qui se plaignaient de toujours tomber sur des hommes enfants qu’elles devaient porter à bout de bras. Aux dires de certaines, c’est une des raisons pour laquelle, elles ont décidé de vivre seules ou de se mettre en couple avec une femme. Jusqu’ici, rien à dire, chacun est libre de faire comme bon lui semble. Il faut savoir que lorsque j’ai lu cet article, il n’était pas loin de minuit, et avant de prendre le sommeil, je me suis fait la promesse de rebondir dessus même si je me doutais bien que le contenu ne correspondrait pas vraiment à la ligne éditoriale du blog de la tribu doc business qui fait plus dans le monde entrepreneurial. Mais en y réfléchissant bien, je me suis dit que la réussite des uns, peut se révéler être un juteux business pour certains et c’est de bonne guerre lorsque l’on sait que les pertes des uns représentent le bénéfice des autres, mais il faut bien garder à l’esprit que les bénéfices ou devrais-je plutôt dire, la bonne fortune des uns représente une opportunité de mariage qui se révélera être une “solide” assurance chômage, voire, assurance vie.

Je suppose qu’il n’a échappé à aucun des entrepreneurs(es)qui a réussi, à quel point la réussite rend beau. J’en veux pour preuve le simple fait que lorsque vous étiez au creux de la vague ou que vous n’étiez pas aux commandes de votre entreprise, le moins qu’on puisse dire c’est que vous n’étiez pas le “play boy” que vous êtes devenu depuis que tout vous réussit. Dans les tout premiers débuts, c’est flatteur de voir que toutes ces jeunes filles (pour ne parler que d’elle) s’intéressent à vous et sont prêtes à accepter toutes les propositions de week-end à Venise, voire mieux. Mais vous savez que vous n’avez rien d’un Brad Pitt, et quand bien même.

Sur le Net, vous trouverez pléthores de vidéo qui vous explique tout ce qu’il y a savoir sur les femmes. Les porteurs de projet sont des hommes qui disent tout et leur contraire, mais aussi des hommes qui ne disent pas que des conneries. Vous trouverez aussi des femmes qui défendent la condition féminine mais n’ont aucun problème à reconnaître qu’elles peuvent parfois se comporter comme des prédatrices et faire mal…


Au point que lorsqu’il leur arrive de prononcer le mot, je t’aime, certains hommes seraient bien avisés de leur demander “combien tu m’aimes ?” Et c’est là que je ris aux éclats. Je ris, mais je ris jaune !! Car il faut savoir qu’à plus d’une reprise, le jeu du “je t’aime” à bien failli me coûter très cher, mais je rends grâce au ciel d’avoir eu une chance inouïe. Sûrement pas assez pour ne pas avoir à payer de ma personne, mais suffisamment pour ne pas avoir eu à me retrouver ad vitam æternam avec un boulet au pied. C’est ma vie, mon parcours, qui fait qu’à chaque fois où j’avais le sentiment que je me trouvais dos au mur, il s’est produit un événement qui m’a permis de passer au travers des mailles du filet.

Pour la petite histoire, il faut savoir deux choses, la première, c’est que tout le monde ne peut pas en dire autant, la deuxième, c’est que si j’avais su ou pris le temps de lire les signes, j’aurais pu m’éviter bien des désagréments. Sachez aussi que j’ai oublié de préciser, que dans mes tout premiers débuts, s’il est vrai que j’étais jeune, beau et riche, j’étais aussi très con ou plutôt très naïf. Ce qui dans le cas de figure qui nous occupe revient du pareil au même. Et ce qui n’arrange pas les choses, c’est qu’à l’époque internet n’existait pas, et que je n’ai pas de grand frère pour me protéger, m’informer et m’expliquer à quel point il est important de comprendre que certaines femmes sont conscientes qu’elles ont de l’or entre les cuisses et qu’il y aura toujours des chercheurs d’or qui se croient plus malins que les autres. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer l’importance de bien apprendre à connaître la femme qui marchera à nos côtés. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il existe un proverbe qui dit, si tu épouses une femme, fait en sorte à la prendre de ton quartier et si tu peux de ta rue, comme ça, tu sauras qui elle est exactement. À l’époque, je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer qu’il ne faut jamais hésiter à dire à une femme qui vous prend pour son sponsor, que vous n’êtes pas son père, mais son mec avec qui elle doit tout partager y compris les factures. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer qu’une femme qui ne travaille pas c’est un capital immobilisé. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer que la plus belle preuve d’amour que je puisse donner à ma femme serait de lui apprendre à pêcher au lieu de ramener le poisson sur la table. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer qu’il faut savoir tenir son rang et ne pas se comporter comme un mendiant de l’amour au risque de le payer très cher. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer que si je ne suis pas le premier choix d’une femme, il est préférable que je passe mon chemin.

Maintenant, je sais. Je sais parce que j’ai payé pour apprendre et toi petit frère, tu en sais autant que moi. Et aujourd’hui, la seule différence entre toi et moi, réside dans le fait que tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas qu’avant d’apprendre à séduire une femme, il est crucial d’apprendre à la quitter. Tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas que la femme est comme l’eau qui se trouve être à l’origine de toute vie. Tu ne pourras pas prétendre ignorer que lorsque tu donnes cent à une femme qui t’aime, le moment venu, elle te rendra mille. Tu ne pourras pas feindre d’ignorer qu’une femme peut faire de son homme un chef des armées ou un simple troufion, d’où l’importance de faire le bon choix ou de savoir faire machine arrière. Et ce, quoi qu’il en coûte !! À moins bien entendu, que tu n’es toujours pas compris qu’il est parfois préférable de marcher seul plutôt que mal accompagné.

Voilà, petit frère, la messe est dite.

Il n’y a plus qu’à bien ouvrir les yeux et faire le bon choix.

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LA VIE EST PARFOIS SURPRENANTE

Le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Un parcours culturel est religieux extraordinaire qui soigne l’âme, mais peut-il la guérir ?

Je pourrais parler du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle durant des heures, voire, des jours sans me lasser. Trente-trois jours de marche, seul. Non pas contre tous, mais contre moi-même.

Tente trois jours de marche durant laquelle vous affrontez toutes les émotions. La joie lorsque vous marchez au sein d’un groupe qui vous accueille les bras ouverts. La tristesse quand vous décidez de marcher seul et que sans raison apparente, vous vous mettez à pleureur. La chaleur et le bien-être que vous ressentez lorsque vous prenez votre repas entouré de gens qui ne demandent rien d’autre que de passer un moment convivial. L’émerveillement lorsque vous contemplez des paysages magnifiques. Le découragement lorsque vous avez l’impression que le chemin n’en finit plus. L’angoisse, lorsque vous vous retrouvez en rase campagne et que l’orage se dessine au lieu. Parfois la peur, lorsque vous prenez conscience que vous marchez dans une forêt et que la nuit et les bruits insolites sont vos seuls compagnons de route. La colère lorsque votre voisin ronfle fort, vraiment très fort et que le matin en se réveillant, il vous demande si vous avez passé une bonne nuit… Et pour finir le challenge, quand votre voisin de dortoir, vous tape sur l’épaule et vous dit, “on se retrouve ce soir à la prochaine étape. ” Pas le choix, il faut y aller !! Un pas devant l’autre et ce sont trente-trois mille pas qui me conduiront à la prochaine étape. Trente-trois mille pas !!

Mais quelle aventure extraordinaire. Une de celle que tout individu devrait faire au moins une fois dans sa vie et le plus tôt sera le mieux. Personnellement, je me suis rendu trois fois sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. La première fois, ce fut en 2015, je vivais en Espagne et je ressentais le besoin de prendre le large. Mon activité professionnelle ne me permettant pas de partir longtemps, je pris la décision de partir marcher sur le chemin de Compostelle. Un premier passage de cinq jours, qui me donna envie de revenir pour faire le chemin dans son intégralité. C’est en 2019, juste avant de quitter l’Espagne que je suis reparti marcher sur le chemin de Saint-jacaues-de-Compostelle. Un périple de trente-trois jours de marche soit 40 jours en comptant les jours de récupération. Le moins, qu’on puisse dire, c’est que ce voyage culturel et religieux vous change un homme, malheureusement, ce n’est que l’espace d’un temps, car le monde reprend vite le dessus. Mais quoi qu’il en soit, vous n’oubliez pas, et le bon côté, c’est que maintenant, vous savez qu’il existe un endroit sur la planète Terre ou vous pouvez venir vous ressourcer, reprendre votre souffle.

J’ai appris deux choses importantes parmi tant d’autres sur le chemin de Saint-Jacques-de- Compostelle. La première, c’est que l‘âge n’est qu’un chiffre. En effet, j’ai vu des enfants de 14 ans faire le chemin, des gens âgées de 70 ans, 75 ans, voire, 80 ans marcher sur le chemin. Certes, ils marchent à leur rythme, mais ils marchent et ils arrivent à Santiago de Compostelle. J’ai aussi appris que trop de certitudes tuent !! J’entends par là, que ceux qui étaient sûrs d’arriver ont parfois dû rebrousser chemin, et ceux qui doutaient de tout ont embrassé la statue de Saint-Jacques.

Lors de mon deuxième passage en 2019, je me suis présenté face au chemin sans trop me poser de question, je ne m’imaginais même pas ne pas réussir, je n’ai pensé à rien pas même à la possible blessure. J’ai bien géré et je suis arrivé sans même avoir eu une seule ampoule.

JE M’ÉTAIS PROMIS DE ME RASER LA TÊTE SI J’ARRIVAIS À SAINT JEAN DE COMPOSTELLE
LES CINQ PREMIERS JOURS EN 2015 ET RETOUR EN MAI 2019 POUR UN MOIS. QUE DU BONHEUR.
SEUL CONTRE SOI-MÊME…
DE RETOUR AU MOIS D’AOUT 2019 JUSTE UNE SEMAINE AVANT DE QUITTER LA FRANCE
DE RETOUR EN AOUT JUSTE POUR UNE SEMAINE

La suite au prochain épisode.

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PRÉSERVER SA RÉPUTATION D’AFFAIRE

Préserver sa réputation en ligne.

La réputation d’affaires tout comme l’e-réputation est un actif précieux.

Dans les commentaires de la version premium du livre condamner au succès, j’ai longuement évoqué la réputation d’affaire de l’entrepreneur que je considère comme étant intrinsèquement lié à celle de son entreprise, sa marque et dans les tout premiers débuts de l’idée que se font les clients de l’entrepreneur. Au fil des commentaires, j’emploie les termes, alchimie, vases communicants, voire, puzzle, pour la simple et bonne raison que je fais partie des entrepreneurs qui pensent que lorsqu’il manque un seul élément, il est difficile d’obtenir un résultat probant.

Plusieurs personnes pourraient avoir “tout à gagner” à nuire à votre réputation d’affaire en usant et abusant du bouche-à-oreille, mais qu’en est-il de votre e-réputation ? Et comment se défaire de ses marques infamantes qui proviennent d’une jeunesse insouciante, d’un voyage et/ou d’une soirée pas comme les autres. D’un meeting en politique ou vous n’auriez peut-être pas dû vous rendre et à plus forte raison si c’est pour vous faire prendre en photo tout sourire aux côtés d’un leader diabolisé par tous. Vous aurez beau dire que c’était dans une autre vie, il n’empêche pas moins que le passé vous rattrape et peut-être même qu’il vous empêche de faire votre petit bonhomme de chemin en toute tranquillité. De deux choses l’une. Soit vous assumer et c’est très souvent ce qui se passe pour ceux qui ont bien compris que ne rien avoir à cacher, c’est parfois le meilleur moyen pour ne pas devenir le débiteur de qui que ce soit. À partir de là, il ne reste plus qu’à vos ennemis de trouver un autre angle d’attaque.

Que signifie assumer ? Assumer ne signifie pas chercher à contre-attaquer, cela signifie qu’il faut se donner les moyens de chercher à comprendre d’où vient l’attaque et quel est l’objectif final. Il en existe toujours un et bien souvent, c’est vous pousser à réagir, comme c’est très souvent le cas des publications sur le net. Donc votre rôle à vous, c’est de bien lire y compris en pratiquant la double lecture, de bien chercher à comprendre, d’analyser et d’observer dans un premier quels sont les impacts sur votre personne, votre travail et/ou votre entreprise. Ne faites surtout pas l’erreur de réagir démesurément, en tout cas pas avant d’avoir pensé à signaler le contenu et à générer une demande de droit à l’oubli via Google ou sur le site internet de forget.Me. Une fois chose faite, vous avez toujours la possibilité de vous adresser à une agence de e-réputation qui a plusieurs moyens à sa disposition pour remonter à la source ou pas… Cela dépend si la personne a mis du cœur à l’ouvrage ainsi que des conséquences que peuvent généraient les attaques. Si elles sont importantes, attendez-vous à ce que la piste soit difficile, pour ne pas dire impossible à remonter.

S’il n’y a rien à faire, il faudra se contenter d’user de stratagèmes qui consistent à occuper l’espace, cela signifie publier du contenu de sorte de faire passer la marque infamante de la première à la septième, voire, dixième page de résultat de Google. Là ou personne ne va que très rarement mettre le nez. C’est coûteux, mais à vous de voir…

De toutes les façons, dites-vous bien que tout le monde à le droit de faire la fête, et que je sache, faire la fête signifie se lâcher, mais aussi lâcher prise l’espace d’un moment. De plus, le simple fait de vous voir sur des photos “limites” ou d’entendre des gens colporter des ragots sur votre personne n’enlève rien à votre talent d’homme d’affaires. Ce ne sont pas les exemples qui manquent et ce n’est sûrement pas l’ex président Bill Clinton (pour ne parler que de lui) qui dira le contraire. Et puis si ça se trouve, votre boss et peut-être plus pervers, plus malhonnête, plus menteur, plus escrocs, et plus à droite que ce que vous le serez jamais. Seulement, voilà, n’attendez pas qu’il se confie à vous, même sous la torture !! Le seul moyen de lever la vérité sur sa petite personne serait de proposer publiquement une somme d’argent qui donne le vertige en échange de toute information qui démontrerait que ceux qui veulent jeter la première pierre ne sont pas si prudes, si honnêtes et si bons citoyens qu’ils le prétendent. Croyez-moi, ça marche. Là encore ce n’est sûrement pas Bill Clinton qui prétendra le contraire. En effet, si mes souvenirs sont bons, n’est-ce pas le patron d’une très fameuse revue du porno américain qui aurait crié haut et fort qu’il était prêt à remettre un million de dollars en échange d’informations permettant de confondre les sénateurs américains qui voulaient la tête de Bill Clinton… Si ça, ce n’est pas l’ironie du sort, il faut me dire ce que c’est… 

Mais bon, tout le monde ne s’appelle pas Bill Clinton, tout le monde n’a pas des bienfaiteurs qui volent à son secours et si l’on part du principe que la réputation et la e-réputation sont un actif précieux, il est préférable de ne pas prêter le flanc à l’ennemi. Vous serez donc bien avisé de commencer par faire vous-même très attention aux traces que vous laissez sur le Net, prenez garde aussi à ne pas accepter n’importe quelle demande d’ami sur les réseaux sociaux. C’est très souvent comme cela que l’on devient n’importe quoi sur la toile et que les portes se ferment les unes derrière les autres.

Votre avis et surtout vos conseils nous intéressent.

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Humour

DEFINITION DU TACT DE DOC BUSINESS

Comment faire pour avoir du tact ?
Il est nécessaire de communiquer avec tact, souplesse et diplomatie ce qui nous amène à choisir un vocabulaire moins « direct », trouver les mots justes mais aussi à manier la vérité radicale qui est l’antonyme du tact. Il faut aussi ne pas parler franc, éviter de dire aux gens leurs quatre vérités, dans la mesure où il est bien connu de tous que toute vérité n’est pas bonnes à dire et pas bonne à entendre. En d’autres termes, il faut s’adapter à l’autre pour communiquer avec plus de souplesse et de diplomatie dans le but de le protéger, de le ménager et par la même la relation qui vous lie. Pour ce faire, il est essentiel de garder le contrôle de soi pour éviter les dérapages et sortir des situations difficiles.
Le mot tact, c’est ce qui désigne la qualité d’une personne qui sait comment aborder un sujet avec quelqu’un, qui sait trouver le mot juste, qui savent aussi faire preuve d’empathie. Le tact, c’est une marque d’intelligence de la part de personnes qui ont compris qu’il ne sert à rien d’être brutal et qui en fonction de la situation et des personnes sont capables de se taire quand il faut savoir se taire, de sorte de revenir sur le sujet en d’autres circonstances.
Bref, le tact, reste une règle de bienséance.
De belles paroles, n’est-ce pas !?! Maintenant, si vous le voulez bien, laissez-moi vous donner la définition du tact de doc business.

Le tact, c’est l’art et la manière d’envoyer quelqu’un à la merde en faisant en sorte qu’il s’enthousiasme du voyage.

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Curriculum Vitae

VOTRE PHOTO DE PROFIL

La photo de profil

Que ce soit sur les réseaux sociaux, sur un curriculum vitae, un profil LINKEDIN, votre site internet, vous allez être tenu de publier une photo de profil. Alors tant qu’à faire les choses, autant bien les faire. Aussi, laissez-moi vous donner quelques conseils qui vous seront bien utiles pour ne pas vous faire recaler.


La photo Tuning ou si vous préférez, la photo retouchée.
Je peux comprendre que vous cherchiez à tout prix et à n’importe quel prix à cacher les valises Samsonite que vous avez sous les yeux ou bien ce méga bouton qui vous sort sur le front, mais un conseil, n’en faites pas trop, sinon, lors l’entretien d’embauche la D.R.H de l’entreprise risque de se faire une fausse opinion d’une recrue qui n’assume pas ce qu’elle est et joue avec les apparences. Personne ne prendra un tel risque… Souvenez-vous que sur les réseaux sociaux, les CV, les photos sont petites et donc que les imperfections ne sautent pas aux yeux.

La photo photomaton.
En deux mots. Laissez tomber !!

La photo ni oui ni non.
C’est celle qui ne vous met pas suffisamment en avant, mais qui ne donne pas envie de vous recaler. Je l’appelle la photo ni oui ni non, mais bien le contraire…


La photo team ou les copains d’abord. Généralement, c’est la photo où vous apparaissez dans un groupe d’amis, mais allez savoir pourquoi vous avez décidé de la publier comme photo de profil. À bien y réfléchir, c’est sûrement parce que vous n’avez pas compris que le sujet, ce n’est pas la photo, mais vous. À moins bien entendu, que vous voulez que le jour ou vous présentez face à votre futur employeur ou prétendant, ce dernier vous dise “désolé, il y a erreur sur la personne, ce n’est pas vous que je désire renconter, mais cette fille-là qui se trouve à vos côtés sur la photo…” Un peu de bon sens enfin !! Vous aurez tout le temps de démontrer que vous êtes sociable et bien entouré.

La photo “j’suis au bout de ma vie”
C’est la photo de profil qui fera bonne impression, mais qui vous rappelle de mauvais souvenirs et/ou une mauvaise période de votre existence. Tourner la page et changez de photo !!

La photo tout juste bonne.
Nous parlons de la photo prise par vos propre moyen et le moins qu’on puisse dire c’est que vous apparaissez sous toute vos coutures mais la photo ne transmet rien. Tout comme quand vous regardez par le judas de la porte, c’est flou… Alors je ne sais pas trop, si j’ouvre ou pas…


Photo psychorigide.
On ne vous demande pas de sourire comme la ravie de la crèche, mais décrispez-vous que diable !! Donnez de votre personne, souriez juste ce qu’il faut pour faire comprendre à ceux qui vous découvriront qu’ils ont tout à gagner à vous rencontrer. Si vous donnez cent à la photo, elle vous rendra mille.


La photo solo.
C’est la photo que l’on choisi sans savoir consulté son entourage proche. Combien de fois, vous êtes, vous entendu dire, “ je ne m’aime pas sur cette photo” ou bien alors, “c’est ma voix ça!!” Nous avons trop tendance à choisir la photo qui nous met sous notre meilleur jour, mais pas nécessairement celle qui reflète notre personnalité, notre dynamisme. Il est peut-être grand temps de vous en remettre à un conseiller en image.

La photo ad vitam æternam
Même si vous avez réussi à tirer la photo qui vous met en avant, ne commettez pas l’erreur de ne jamais changer de photo. Ne serait-ce que pour mettre plusieurs cordes à votre arc, mais aussi pour jouer la carte du changement d’une publication à l’autre. Ce sera un excellent moyen pour que les personnes vous découvrent et se rendent compte que votre vie et votre carrière évoluent. De plus, il faut savoir qu’une photo perd de son impact tous les douze mois. En effet, passé ce délai, vous ferez l’effet d’un meuble qu’on ne voit même plus sur la toile.

Le mot de la fin.
Investissez !! Vous cherchez à vous vendre sur le marché du travail, donner de vous l’image d’un entrepreneur digne de ce nom, voire, trouver l’âme sœur, alors partez du principe que la première impression est souvent la bonne. C’est pourquoi, je ne saurais trop vous recommander de mettre toutes les chances de votre côté en poussant la porte d’un photographe professionnel. Mais avant de vous rendre à la séance de shooting, passer une bonne nuit de sommeil, passez votre garde-robe en revue et choisissez la tenue adequate, prenez rendez-vous chez le coiffeur, l’esthéticienne, et le jour J arborez votre plus beau sourire. Votre carrière commence chez le photographe, aussi soyez pro et jouer le jeu du photographe qui saura mettre en avant votre personnalité. Après tout, c’est leur job non !?!


N’oubliez pas !! Si vous donnez cent à la photo, elle vous rendra mille.

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