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LE BURN-OUT

LE BURN-OUT

J’aborde le sujet dans mon livre condamner au succès, mais le sujet est tellement intéressant et me touche de tellement près que j’ai décidé de faire une échappée belle en lui  consacrant un article dans mon blog.

Récemment, l’organisation mondiale de la santé, (OMS) vient d’intégrer le burn-out dans sa classification des maladies (CIM-11) sous l’appellation “phénomène lié au travail.” Le burn-out est dû très souvent à une overdose de travail qui fait qu’arrive le moment ou parfois sans même nous en rendre compte. Ce phénomène lié au travail est une arme de destruction massive à large spectre qui a surpris plus d’un entrepreneur. Et c’est d’autant plus vrai quand on sait que nonobstant de provoquer un épuisement professionnel intense, le burn-out peut vous pousser le chef d’entreprise à se désintéresser de ce qui passionne le plus, à savoir, son projet, son entreprise, son équipe. Pire, l’entrepreneur peut éprouver le sentiment qu’il n’aime plus son travail, que tout cela n’a plus de sens. Il peut même arriver qu’il se sente inutile, qu’il perde toute motivation, qu’il envoie tout le monde balader, qu’il ressente de grosses difficultés, j’en passe et bien des pires. Par exemple, ne plus vouloir se rendre sur son lieu de travail, se déconnecter du monde du travail au point de le rejeter en bloc. Pas bon pour le business…

Le problème avec le burn-out c’est que si l’on ne sait pas reconnaître les symptômes, ils vous tombent dessus sans même que vous vous en rendiez compte. Pourtant les signes annonciateurs ne sont pas difficiles à reconnaître. Cela peut aller des troubles psychiques ou physiques tels que l’irritabilité, dégoût pour son travail, son cadre de travail, trouble du sommeil, maux de tête, sensibilité émotionnelle, perte de mémoire, de concentration, fatigue, perte de sensibilité, j’en passe et des biens plus gênants comme les troubles intestinaux, tensions, et dans les cas les plus graves, isolement social, une dépersonnalisation qui peut conduire à une addiction aux drogues, et/ou aux jeux qui représentent une échappatoire aux problèmes, voire, un comportement sexuel dangereux.

Beaucoup de gens font l’erreur de confondre la dépression mentale avec le burn-out, mais même s’il est vrai que l’un et l’autre ont des symptômes en commun, il ne faut pas les confondre. Comme je l’explique dans le chapitre du livre condamner au succès, la dépression, vous cloue au lit alors que le burn-out vous laisse sortir du lit, mais il diminue considérablement votre potentiel au travail. Un peu à l’image d’un portable qui démarre la journée la batterie pleine, mais qui mois de deux heures après et déjà dans le rouge…

Le mot de la fin.

Contrairement à ceux que pourraient penser certains, le burn-out concerne pas que les entrepreneurs, ils touchent aussi les salariés. Le seul point en commun, notable entre l’un et l’autre, est du au fait que les profils qui sont touchés par ce fléau sont ceux qui s’investissent corps et âmes dans leur travail et qui se laissent déborder par les heures de travail qui s’accumulent sans même qu’on s’en rende compte. Toutefois, il est vrai que les entrepreneurs perfectionnistes et les porteurs de projet qui gèrent tous les aspects du projet sont plus sujet à ce phénomène. Ce sont des proies toutes indiquées pour le burn-out et ce qui rends les entrepreneurs vulnerables, c’est que ces derniers semblent incapables d’établir une frontière entre la vie privé et la vie professionnelle qui leur serait bien utile pour éviter le pire.

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L’IMPÔT UN MAL NECESSAIRE…

LA FORCE ET LE BÉNÉFICE DE L’IMPÔT.

L’impôt est vital pour un pays, il permet le développement de politiques incitatives, par exemple, en matière d’environnement, de recherche, de politique industrielle, d’emploi, il contribue aussi aux maintiens et aux bons fonctionnements de nos institutions.

En toute logique, l’impôt est censé être garant de la cohésion sociale, et ce serait vrai, si et seulement si, l’argent rentre comme il se doit. Seulement, voilà, personne n’ignore, et surtout pas ceux qui paient des impôts, à quel point il est injuste. En effet, force est de constater que de nos jours les riches sont trop riches pour payer des impôts et trop intelligents, ou devrais-je plutôt dire, trop “gros, trop puissants” pour qu’on les oblige à passer à la caisse. Quant aux pauvres, ils sont considérés comme “trop pauvres” pour payer des impôts, pourtant je fais partie des gens qui pensent que même les “plus pauvres” devraient participer à une contribution, aussi minime soit-elle. Ne serait-ce pour qu’aucun citoyen ne puisse être considéré comme une personne “sans voix”, contrainte de suivre le mouvement moutonnier et/ou d’adhérer à la façon de penser des gouvernements, pour la simple et bonne raison, qu’en sa qualité de bénéficiaire du système elle perd implicitement son libre-arbitre, ou tout du moins son droit d’ouvrir sa bouche… En fin de liste, il nous reste les “bons payeurs” qui ne cessent de se demander ou passe l’argent de leurs impôts. En fait, ils le savent parfaitement, c’est une des raisons pour laquelle ils fustigent l’impôt qu’ils considèrent injuste, dans le sens, ou il s’agit d’un réel manque à gagner en fin de mois. 

Les citoyens imposables fustigent l’impôt parce qu’en toute logique, il devrait être juste. D’ailleurs, s’il était utilisé à bon escient, comme c’est le cas dans les pays scandinaves, nous aurions la certitude que tout irait pour le mieux dans le “meilleur des mondes”. S’il était basé sur une redistribution des richesses, et une juste répartition, tout le monde bénéficierait du grand ruissellement tant attendu, mais il n’en est rien. Bien au contraire!! Force est de constater qu’en ce qui concerne l’impôt, il existe deux poids et deux mesures, qui amènent le citoyen à se retrouver dans une situation de pouvoir ou de faiblesse.

Albert Einstein n’avait pas vraiment tort en prétendant que l’impôt reste la chose la plus difficile à comprendre. Ce n’est pas dû au fait que le citoyen ne comprend pas l’utilité de l’impôt, ce qui au sens propre comme au sens figuré rend de plus en plus difficile le paiement de l’impôt, mais au fait que les contribuables ont de plus en plus le sentiment que la répartition de l’impôt passe souvent « inaperçue ». Et c’est d’autant plus vrai, qu’il n’échappe à personne que les administrations, toutes confondues, se portent de plus en plus mal. Effectivement, pas besoin d’avoir fait les grandes études dans les petites communes pour se rendre compte que la qualité du service public est de plus en plus déplorable. À tel point que les citoyens se demandent une fois encore à qui profite réellement le pognon de dingue qu’ils reversent chaque année… 

La question est sans objet. De toutes les façons, il faut savoir que nous avons largement dépassé le stade de nous poser la question de savoir, comment est-il possible qu’avec les sommes incroyables que les citoyens paient en impôts sur le revenu, nos gouvernants arrivent à faire si peu. Alors que de son côté, le citoyen arrive à faire des miracles avec un petit rien… Croyez-le, j’entends et je comprends la colère citoyenne, mais j’aimerais dire une chose, après quoi je ferme ma grande bouche car je ne veux pas prendre le risque de me retrouver à califourchon sur un tronc d’arbre avec des plumes et du goudron.

Voici ce que j’ai à dire. 

Certes, la citation d’Albert Einstein, n’est pas dénouée de bon sens, surtout à notre époque, mais laissez-moi, vous dire une bonne chose. À tout prendre, je préfère payer des millions d’impôts sur le revenu, râler comme un putois durant 48 heures et le reste de l’année, vivre ma vie comme je l’entends, plutôt que de ne rien payer (ou peu) et devoir tirer le diable par la queue toute l’année. Les personnes qui paient beaucoup d’impôts sur le revenu n’ignorent pas que payer de coquettes sommes d’impôt sur le revenu signifie que vous gagnez de l’argent, suffisamment en tout cas, pour ne pas avoir à faire ce que vous ne voulez pas faire…

Le problème, ce n’est pas l’impôt, ni son montant, le véritable problème, c’est l’usage qui est fait des sommes que nous versons. 

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