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LE BURN-OUT

LE BURN-OUT

J’aborde le sujet dans mon livre condamner au succès, mais le sujet est tellement intéressant et me touche de tellement près que j’ai décidé de faire une échappée belle en lui  consacrant un article dans mon blog.

Récemment, l’organisation mondiale de la santé, (OMS) vient d’intégrer le burn-out dans sa classification des maladies (CIM-11) sous l’appellation “phénomène lié au travail.” Le burn-out est dû très souvent à une overdose de travail qui fait qu’arrive le moment ou parfois sans même nous en rendre compte. Ce phénomène lié au travail est une arme de destruction massive à large spectre qui a surpris plus d’un entrepreneur. Et c’est d’autant plus vrai quand on sait que nonobstant de provoquer un épuisement professionnel intense, le burn-out peut vous pousser le chef d’entreprise à se désintéresser de ce qui passionne le plus, à savoir, son projet, son entreprise, son équipe. Pire, l’entrepreneur peut éprouver le sentiment qu’il n’aime plus son travail, que tout cela n’a plus de sens. Il peut même arriver qu’il se sente inutile, qu’il perde toute motivation, qu’il envoie tout le monde balader, qu’il ressente de grosses difficultés, j’en passe et bien des pires. Par exemple, ne plus vouloir se rendre sur son lieu de travail, se déconnecter du monde du travail au point de le rejeter en bloc. Pas bon pour le business…

Le problème avec le burn-out c’est que si l’on ne sait pas reconnaître les symptômes, ils vous tombent dessus sans même que vous vous en rendiez compte. Pourtant les signes annonciateurs ne sont pas difficiles à reconnaître. Cela peut aller des troubles psychiques ou physiques tels que l’irritabilité, dégoût pour son travail, son cadre de travail, trouble du sommeil, maux de tête, sensibilité émotionnelle, perte de mémoire, de concentration, fatigue, perte de sensibilité, j’en passe et des biens plus gênants comme les troubles intestinaux, tensions, et dans les cas les plus graves, isolement social, une dépersonnalisation qui peut conduire à une addiction aux drogues, et/ou aux jeux qui représentent une échappatoire aux problèmes, voire, un comportement sexuel dangereux.

Beaucoup de gens font l’erreur de confondre la dépression mentale avec le burn-out, mais même s’il est vrai que l’un et l’autre ont des symptômes en commun, il ne faut pas les confondre. Comme je l’explique dans le chapitre du livre condamner au succès, la dépression, vous cloue au lit alors que le burn-out vous laisse sortir du lit, mais il diminue considérablement votre potentiel au travail. Un peu à l’image d’un portable qui démarre la journée la batterie pleine, mais qui mois de deux heures après et déjà dans le rouge…

Le mot de la fin.

Contrairement à ceux que pourraient penser certains, le burn-out concerne pas que les entrepreneurs, ils touchent aussi les salariés. Le seul point en commun, notable entre l’un et l’autre, est du au fait que les profils qui sont touchés par ce fléau sont ceux qui s’investissent corps et âmes dans leur travail et qui se laissent déborder par les heures de travail qui s’accumulent sans même qu’on s’en rende compte. Toutefois, il est vrai que les entrepreneurs perfectionnistes et les porteurs de projet qui gèrent tous les aspects du projet sont plus sujet à ce phénomène. Ce sont des proies toutes indiquées pour le burn-out et ce qui rends les entrepreneurs vulnerables, c’est que ces derniers semblent incapables d’établir une frontière entre la vie privé et la vie professionnelle qui leur serait bien utile pour éviter le pire.

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CE QUE NE T’A JAMAIS DIT TA DARONNE

“ce que n’a jamais osé te dire dit ta daronne”

Avant d’aller plus loin, je tiens à vous dire qu’en écrivant cet article, je suis conscient du fait que je ne vais pas me faire que des amis du côté de la gente féminine. Néanmoins mesdames, je fais appel à votre intelligence, suffisamment en tout cas, pour que vous reconnaissiez que tout n’est pas faux dans cet article, que rien n’est exagéré, et pour finir que je suis très proche de la vérité. Peut-être même que je suis la vérité qui crie tout haut ce que beaucoup pensent tout bas !! Et personne n’ignore, pas même les imbéciles que toute vérité n’est pas bonne à dire et pas bonne à entendre. Maintenant, essayons de détendre l’atmosphère. Pour ce faire, commençons par un trait d’humour qui me pousse à dire à tous ceux qui l’ignorent que lorsque les hommes épousent leur femme, ils le font en priant le ciel qu’elles ne changent jamais et de leur côté la grande majorité des femmes passent leur vie à essayer de changer leur mari pour qu’il devienne l’homme de leur rêve.

Mais c’est à croire qu’elles n’ont toujours pas compris qu’elles ne se sont pas marié avec une bouteille de vin qui se bonifie avec le temps. Chemin faisant, elles finissent par le réaliser, mais uniquement lorsque les carottes sont cuites. Certaines regrettent leur choix et tentent leurs chances ailleurs, et la grande majorité d’entre elles passent d’un problème à un autre. C’est tellement vrai qu’elles finissent par admettre qu’un homme reste un homme, sous-entendu, que les hommes viennent de mars et les femmes de Vénus… Fort de ce constat, elles finissent par abandonner l’idée du prince charmant et se résignent en se persuadant que si elles ne peuvent pas vivre avec l’homme qu’elles aiment, il va leur falloir apprendre à aimer celui qu’elles ont. Sous-entendu, tant qu’à vivre avec un connard, autant que ça soit le père de vos enfants.

Si vous le dites !!

Les hommes sont connus, pour être directs, c’est pourquoi quand les fils demandent à leur père ce qu’ils pensent du mariage, nombreux sont ceux qui s’empressent de leur répondre sur le ton de la confidence que le mariage est la seule guerre où tu dors aux côtés de ton ennemi et que le secret de la réussite dans le mariage c’est de ne jamais pousser sa femme à brûler la maison pour tuer une souris. Pour ceux à qui cela aurait échappé, il est aussi de notoriété publique que les mamans protègent leurs filles. C’est sûrement du au fait qu’elles ont appris à connaître les hommes et qu’elles savent ce qu’il en coûte de se sacrifier pour donner l’impression que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, ou devrais-je plutôt dire dans la famille. Elles le font parfois tant et si bien que leurs propres filles finissent par penser que leur mère est géniale !! La preuve, elle a réussi là ou beaucoup d’autres se sont pris des portes dans la gueule, voire, plus… Et comme une illusion n’arrive jamais seule, les fifilles à maman se mettent elle aussi dans l’idée de faire aussi bien que leur mère. Et comment pourrait-il en être autrement quand on sait que les daronnes passent le plus clair de leur temps à répéter en boucle “ trouve toi un homme bien ma fille”. Et quand sa fille lui répond, “tu veux dire un comme papa !?!” C’est l’heure de la vérité, qui comme vous le savez n’est jamais bonne à dire et jamais bonne à entendre, c’est la raison pour laquelle la mère répond à demi-mot, “ C’est ça ma fille, un homme comme ton père…”

[P….] de non-dits!!

En fait ce que la fifille à sa maman ignore ou fait mine d’ignorer parce que c’est bien plus simple et/ou que ça place la barre moins haute, c’est que sa mère rêverait de lui dire un truc dans le genre, “oui le même que ton père, sauf que lui c’est le modèle hors taxes, et que toi tu serais bien avisé de trouver le modèle avec une TVA, non pas à vingt pour cent, ni même à 100%, mais à 1000 %”

Seulement, voilà, dans la mesure où sa fille détient la mauvaise information, pour ne pas dire le mauvais exemple, elle se doute bien que cette dernière à toutes les chances de faire un mauvais choix en cherchant à épouser la copie conforme de son père. Malgré ce, elle ne fait rien. Pourquoi ? Parce que cela reviendrait à dire la vérité et peut-être même toute la vérité sur son couple qu’idéalise tant sa fille, ce serait prendre le risque de lui ouvrir les yeux, là ou bien souvent, il est préférable de tourner la tête et cela aurait aussi pour résultat de faire passer toute son existence pour un énorme mensonge.

Aussi quand leur fille chérie passe la porte de la maison pour présenter l’élu de son cœur, au premier coup d’œil, la mère devine s’il s’agit bel et bien d’un miracle, ou si au contraire, elle se trouve face à un miracle qui a toutes les chances d’accoucher d’un mirage.

Maman aurait pu éviter que sa fille lui ramène un ticket de loterie sur pattes. Mais…

[P….] de non-dits!!

Le mot de la fin.

Méfiez-vous des miracles qui accouchent d’un mirage.

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JE NE SUIS PAS TON PÈRE

Tu es jeune, beau, riche et la vie te sourit. Hé bien, laisse-moi te dire une chose mon gars, tu es dans la merde et tu ne vas pas tarder à comprendre pourquoi en lisant cet article, qui, j’en suis sûr ne va pas manquer d’en faire réagir plus d’une et faire rire plus d’uns. Néanmoins, je reste persuadé qu’après-avoir lu ces quelques lignes, plus d’une grande sœur ou d’un grand frère soucieux de voir le petit dernier de la famille ne pas se faire prendre pour un lapin de trois semaines, passeront la porte de sa chambre pour lui dire “ champion, si tu ne veux pas tomber sur une bourgeoise qui te fera croire que le saucisson est un fruit qui pousse dans les arbres, il faut absolument que tu lises ça. Possible que tu ne comprennes pas tout, mais j’suis persuadé que plus tard, tu me remercieras…” Ps : n’en parle pas à notre mère…

Il y a peu, j’ai lu un article rédigé par ce que je qualifierais de féministes qui se plaignaient de toujours tomber sur des hommes enfants qu’elles devaient porter à bout de bras. Aux dires de certaines, c’est une des raisons pour laquelle, elles ont décidé de vivre seules ou de se mettre en couple avec une femme. Jusqu’ici, rien à dire, chacun est libre de faire comme bon lui semble. Il faut savoir que lorsque j’ai lu cet article, il n’était pas loin de minuit, et avant de prendre le sommeil, je me suis fait la promesse de rebondir dessus même si je me doutais bien que le contenu ne correspondrait pas vraiment à la ligne éditoriale du blog de la tribu doc business qui fait plus dans le monde entrepreneurial. Mais en y réfléchissant bien, je me suis dit que la réussite des uns, peut se révéler être un juteux business pour certains et c’est de bonne guerre lorsque l’on sait que les pertes des uns représentent le bénéfice des autres, mais il faut bien garder à l’esprit que les bénéfices ou devrais-je plutôt dire, la bonne fortune des uns représente une opportunité de mariage qui se révélera être une “solide” assurance chômage, voire, assurance vie.

Je suppose qu’il n’a échappé à aucun des entrepreneurs(es)qui a réussi, à quel point la réussite rend beau. J’en veux pour preuve le simple fait que lorsque vous étiez au creux de la vague ou que vous n’étiez pas aux commandes de votre entreprise, le moins qu’on puisse dire c’est que vous n’étiez pas le “play boy” que vous êtes devenu depuis que tout vous réussit. Dans les tout premiers débuts, c’est flatteur de voir que toutes ces jeunes filles (pour ne parler que d’elle) s’intéressent à vous et sont prêtes à accepter toutes les propositions de week-end à Venise, voire mieux. Mais vous savez que vous n’avez rien d’un Brad Pitt, et quand bien même.

Sur le Net, vous trouverez pléthores de vidéo qui vous explique tout ce qu’il y a savoir sur les femmes. Les porteurs de projet sont des hommes qui disent tout et leur contraire, mais aussi des hommes qui ne disent pas que des conneries. Vous trouverez aussi des femmes qui défendent la condition féminine mais n’ont aucun problème à reconnaître qu’elles peuvent parfois se comporter comme des prédatrices et faire mal…


Au point que lorsqu’il leur arrive de prononcer le mot, je t’aime, certains hommes seraient bien avisés de leur demander “combien tu m’aimes ?” Et c’est là que je ris aux éclats. Je ris, mais je ris jaune !! Car il faut savoir qu’à plus d’une reprise, le jeu du “je t’aime” à bien failli me coûter très cher, mais je rends grâce au ciel d’avoir eu une chance inouïe. Sûrement pas assez pour ne pas avoir à payer de ma personne, mais suffisamment pour ne pas avoir eu à me retrouver ad vitam æternam avec un boulet au pied. C’est ma vie, mon parcours, qui fait qu’à chaque fois où j’avais le sentiment que je me trouvais dos au mur, il s’est produit un événement qui m’a permis de passer au travers des mailles du filet.

Pour la petite histoire, il faut savoir deux choses, la première, c’est que tout le monde ne peut pas en dire autant, la deuxième, c’est que si j’avais su ou pris le temps de lire les signes, j’aurais pu m’éviter bien des désagréments. Sachez aussi que j’ai oublié de préciser, que dans mes tout premiers débuts, s’il est vrai que j’étais jeune, beau et riche, j’étais aussi très con ou plutôt très naïf. Ce qui dans le cas de figure qui nous occupe revient du pareil au même. Et ce qui n’arrange pas les choses, c’est qu’à l’époque internet n’existait pas, et que je n’ai pas de grand frère pour me protéger, m’informer et m’expliquer à quel point il est important de comprendre que certaines femmes sont conscientes qu’elles ont de l’or entre les cuisses et qu’il y aura toujours des chercheurs d’or qui se croient plus malins que les autres. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer l’importance de bien apprendre à connaître la femme qui marchera à nos côtés. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il existe un proverbe qui dit, si tu épouses une femme, fait en sorte à la prendre de ton quartier et si tu peux de ta rue, comme ça, tu sauras qui elle est exactement. À l’époque, je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer qu’il ne faut jamais hésiter à dire à une femme qui vous prend pour son sponsor, que vous n’êtes pas son père, mais son mec avec qui elle doit tout partager y compris les factures. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer qu’une femme qui ne travaille pas c’est un capital immobilisé. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer que la plus belle preuve d’amour que je puisse donner à ma femme serait de lui apprendre à pêcher au lieu de ramener le poisson sur la table. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer qu’il faut savoir tenir son rang et ne pas se comporter comme un mendiant de l’amour au risque de le payer très cher. Je n’avais pas de grand frère pour m’expliquer que si je ne suis pas le premier choix d’une femme, il est préférable que je passe mon chemin.

Maintenant, je sais. Je sais parce que j’ai payé pour apprendre et toi petit frère, tu en sais autant que moi. Et aujourd’hui, la seule différence entre toi et moi, réside dans le fait que tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas qu’avant d’apprendre à séduire une femme, il est crucial d’apprendre à la quitter. Tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas que la femme est comme l’eau qui se trouve être à l’origine de toute vie. Tu ne pourras pas prétendre ignorer que lorsque tu donnes cent à une femme qui t’aime, le moment venu, elle te rendra mille. Tu ne pourras pas feindre d’ignorer qu’une femme peut faire de son homme un chef des armées ou un simple troufion, d’où l’importance de faire le bon choix ou de savoir faire machine arrière. Et ce, quoi qu’il en coûte !! À moins bien entendu, que tu n’es toujours pas compris qu’il est parfois préférable de marcher seul plutôt que mal accompagné.

Voilà, petit frère, la messe est dite.

Il n’y a plus qu’à bien ouvrir les yeux et faire le bon choix.

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LA VIE EST PARFOIS SURPRENANTE

Le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Un parcours culturel est religieux extraordinaire qui soigne l’âme, mais peut-il la guérir ?

Je pourrais parler du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle durant des heures, voire, des jours sans me lasser. Trente-trois jours de marche, seul. Non pas contre tous, mais contre moi-même.

Tente trois jours de marche durant laquelle vous affrontez toutes les émotions. La joie lorsque vous marchez au sein d’un groupe qui vous accueille les bras ouverts. La tristesse quand vous décidez de marcher seul et que sans raison apparente, vous vous mettez à pleureur. La chaleur et le bien-être que vous ressentez lorsque vous prenez votre repas entouré de gens qui ne demandent rien d’autre que de passer un moment convivial. L’émerveillement lorsque vous contemplez des paysages magnifiques. Le découragement lorsque vous avez l’impression que le chemin n’en finit plus. L’angoisse, lorsque vous vous retrouvez en rase campagne et que l’orage se dessine au lieu. Parfois la peur, lorsque vous prenez conscience que vous marchez dans une forêt et que la nuit et les bruits insolites sont vos seuls compagnons de route. La colère lorsque votre voisin ronfle fort, vraiment très fort et que le matin en se réveillant, il vous demande si vous avez passé une bonne nuit… Et pour finir le challenge, quand votre voisin de dortoir, vous tape sur l’épaule et vous dit, “on se retrouve ce soir à la prochaine étape. ” Pas le choix, il faut y aller !! Un pas devant l’autre et ce sont trente-trois mille pas qui me conduiront à la prochaine étape. Trente-trois mille pas !!

Mais quelle aventure extraordinaire. Une de celle que tout individu devrait faire au moins une fois dans sa vie et le plus tôt sera le mieux. Personnellement, je me suis rendu trois fois sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. La première fois, ce fut en 2015, je vivais en Espagne et je ressentais le besoin de prendre le large. Mon activité professionnelle ne me permettant pas de partir longtemps, je pris la décision de partir marcher sur le chemin de Compostelle. Un premier passage de cinq jours, qui me donna envie de revenir pour faire le chemin dans son intégralité. C’est en 2019, juste avant de quitter l’Espagne que je suis reparti marcher sur le chemin de Saint-jacaues-de-Compostelle. Un périple de trente-trois jours de marche soit 40 jours en comptant les jours de récupération. Le moins, qu’on puisse dire, c’est que ce voyage culturel et religieux vous change un homme, malheureusement, ce n’est que l’espace d’un temps, car le monde reprend vite le dessus. Mais quoi qu’il en soit, vous n’oubliez pas, et le bon côté, c’est que maintenant, vous savez qu’il existe un endroit sur la planète Terre ou vous pouvez venir vous ressourcer, reprendre votre souffle.

J’ai appris deux choses importantes parmi tant d’autres sur le chemin de Saint-Jacques-de- Compostelle. La première, c’est que l‘âge n’est qu’un chiffre. En effet, j’ai vu des enfants de 14 ans faire le chemin, des gens âgées de 70 ans, 75 ans, voire, 80 ans marcher sur le chemin. Certes, ils marchent à leur rythme, mais ils marchent et ils arrivent à Santiago de Compostelle. J’ai aussi appris que trop de certitudes tuent !! J’entends par là, que ceux qui étaient sûrs d’arriver ont parfois dû rebrousser chemin, et ceux qui doutaient de tout ont embrassé la statue de Saint-Jacques.

Lors de mon deuxième passage en 2019, je me suis présenté face au chemin sans trop me poser de question, je ne m’imaginais même pas ne pas réussir, je n’ai pensé à rien pas même à la possible blessure. J’ai bien géré et je suis arrivé sans même avoir eu une seule ampoule.

JE M’ÉTAIS PROMIS DE ME RASER LA TÊTE SI J’ARRIVAIS À SAINT JEAN DE COMPOSTELLE
LES CINQ PREMIERS JOURS EN 2015 ET RETOUR EN MAI 2019 POUR UN MOIS. QUE DU BONHEUR.
SEUL CONTRE SOI-MÊME…
DE RETOUR AU MOIS D’AOUT 2019 JUSTE UNE SEMAINE AVANT DE QUITTER LA FRANCE
DE RETOUR EN AOUT JUSTE POUR UNE SEMAINE

La suite au prochain épisode.

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PRÉSERVER SA RÉPUTATION D’AFFAIRE

Préserver sa réputation en ligne.

La réputation d’affaires tout comme l’e-réputation est un actif précieux.

Dans les commentaires de la version premium du livre condamner au succès, j’ai longuement évoqué la réputation d’affaire de l’entrepreneur que je considère comme étant intrinsèquement lié à celle de son entreprise, sa marque et dans les tout premiers débuts de l’idée que se font les clients de l’entrepreneur. Au fil des commentaires, j’emploie les termes, alchimie, vases communicants, voire, puzzle, pour la simple et bonne raison que je fais partie des entrepreneurs qui pensent que lorsqu’il manque un seul élément, il est difficile d’obtenir un résultat probant.

Plusieurs personnes pourraient avoir “tout à gagner” à nuire à votre réputation d’affaire en usant et abusant du bouche-à-oreille, mais qu’en est-il de votre e-réputation ? Et comment se défaire de ses marques infamantes qui proviennent d’une jeunesse insouciante, d’un voyage et/ou d’une soirée pas comme les autres. D’un meeting en politique ou vous n’auriez peut-être pas dû vous rendre et à plus forte raison si c’est pour vous faire prendre en photo tout sourire aux côtés d’un leader diabolisé par tous. Vous aurez beau dire que c’était dans une autre vie, il n’empêche pas moins que le passé vous rattrape et peut-être même qu’il vous empêche de faire votre petit bonhomme de chemin en toute tranquillité. De deux choses l’une. Soit vous assumer et c’est très souvent ce qui se passe pour ceux qui ont bien compris que ne rien avoir à cacher, c’est parfois le meilleur moyen pour ne pas devenir le débiteur de qui que ce soit. À partir de là, il ne reste plus qu’à vos ennemis de trouver un autre angle d’attaque.

Que signifie assumer ? Assumer ne signifie pas chercher à contre-attaquer, cela signifie qu’il faut se donner les moyens de chercher à comprendre d’où vient l’attaque et quel est l’objectif final. Il en existe toujours un et bien souvent, c’est vous pousser à réagir, comme c’est très souvent le cas des publications sur le net. Donc votre rôle à vous, c’est de bien lire y compris en pratiquant la double lecture, de bien chercher à comprendre, d’analyser et d’observer dans un premier quels sont les impacts sur votre personne, votre travail et/ou votre entreprise. Ne faites surtout pas l’erreur de réagir démesurément, en tout cas pas avant d’avoir pensé à signaler le contenu et à générer une demande de droit à l’oubli via Google ou sur le site internet de forget.Me. Une fois chose faite, vous avez toujours la possibilité de vous adresser à une agence de e-réputation qui a plusieurs moyens à sa disposition pour remonter à la source ou pas… Cela dépend si la personne a mis du cœur à l’ouvrage ainsi que des conséquences que peuvent généraient les attaques. Si elles sont importantes, attendez-vous à ce que la piste soit difficile, pour ne pas dire impossible à remonter.

S’il n’y a rien à faire, il faudra se contenter d’user de stratagèmes qui consistent à occuper l’espace, cela signifie publier du contenu de sorte de faire passer la marque infamante de la première à la septième, voire, dixième page de résultat de Google. Là ou personne ne va que très rarement mettre le nez. C’est coûteux, mais à vous de voir…

De toutes les façons, dites-vous bien que tout le monde à le droit de faire la fête, et que je sache, faire la fête signifie se lâcher, mais aussi lâcher prise l’espace d’un moment. De plus, le simple fait de vous voir sur des photos “limites” ou d’entendre des gens colporter des ragots sur votre personne n’enlève rien à votre talent d’homme d’affaires. Ce ne sont pas les exemples qui manquent et ce n’est sûrement pas l’ex président Bill Clinton (pour ne parler que de lui) qui dira le contraire. Et puis si ça se trouve, votre boss et peut-être plus pervers, plus malhonnête, plus menteur, plus escrocs, et plus à droite que ce que vous le serez jamais. Seulement, voilà, n’attendez pas qu’il se confie à vous, même sous la torture !! Le seul moyen de lever la vérité sur sa petite personne serait de proposer publiquement une somme d’argent qui donne le vertige en échange de toute information qui démontrerait que ceux qui veulent jeter la première pierre ne sont pas si prudes, si honnêtes et si bons citoyens qu’ils le prétendent. Croyez-moi, ça marche. Là encore ce n’est sûrement pas Bill Clinton qui prétendra le contraire. En effet, si mes souvenirs sont bons, n’est-ce pas le patron d’une très fameuse revue du porno américain qui aurait crié haut et fort qu’il était prêt à remettre un million de dollars en échange d’informations permettant de confondre les sénateurs américains qui voulaient la tête de Bill Clinton… Si ça, ce n’est pas l’ironie du sort, il faut me dire ce que c’est… 

Mais bon, tout le monde ne s’appelle pas Bill Clinton, tout le monde n’a pas des bienfaiteurs qui volent à son secours et si l’on part du principe que la réputation et la e-réputation sont un actif précieux, il est préférable de ne pas prêter le flanc à l’ennemi. Vous serez donc bien avisé de commencer par faire vous-même très attention aux traces que vous laissez sur le Net, prenez garde aussi à ne pas accepter n’importe quelle demande d’ami sur les réseaux sociaux. C’est très souvent comme cela que l’on devient n’importe quoi sur la toile et que les portes se ferment les unes derrière les autres.

Votre avis et surtout vos conseils nous intéressent.

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Humour

DEFINITION DU TACT DE DOC BUSINESS

Comment faire pour avoir du tact ?
Il est nécessaire de communiquer avec tact, souplesse et diplomatie ce qui nous amène à choisir un vocabulaire moins « direct », trouver les mots justes mais aussi à manier la vérité radicale qui est l’antonyme du tact. Il faut aussi ne pas parler franc, éviter de dire aux gens leurs quatre vérités, dans la mesure où il est bien connu de tous que toute vérité n’est pas bonnes à dire et pas bonne à entendre. En d’autres termes, il faut s’adapter à l’autre pour communiquer avec plus de souplesse et de diplomatie dans le but de le protéger, de le ménager et par la même la relation qui vous lie. Pour ce faire, il est essentiel de garder le contrôle de soi pour éviter les dérapages et sortir des situations difficiles.
Le mot tact, c’est ce qui désigne la qualité d’une personne qui sait comment aborder un sujet avec quelqu’un, qui sait trouver le mot juste, qui savent aussi faire preuve d’empathie. Le tact, c’est une marque d’intelligence de la part de personnes qui ont compris qu’il ne sert à rien d’être brutal et qui en fonction de la situation et des personnes sont capables de se taire quand il faut savoir se taire, de sorte de revenir sur le sujet en d’autres circonstances.
Bref, le tact, reste une règle de bienséance.
De belles paroles, n’est-ce pas !?! Maintenant, si vous le voulez bien, laissez-moi vous donner la définition du tact de doc business.

Le tact, c’est l’art et la manière d’envoyer quelqu’un à la merde en faisant en sorte qu’il s’enthousiasme du voyage.

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Business

CROYANCE LIMITANTE

LE BUSINESS ET LES CROYANCES LIMITANTES.

Une personne qui se laisse envahir par les croyances limitantes de tout ordre peut-elle réussir dans le commerce ?

Les énergies positives sont indispensables dans le monde d’affaires. C’est la raison pour laquelle je pense qu’il est difficile de réussir dans le milieu des affaires quand on est rongé par les croyances limitantes. En effet, vous n’imaginez pas le nombre de personnes qui rêvent de se lancer dans le monde des affaires, mais certaines ne franchissent pas le pas de peur d’échouer, d’autres parce qu’il s’agit d’un monde inconnu réputé pour ne pas faire de cadeau. Je ne parle même pas de ceux qui ont toutes les cartes en main, mais qui sont les seuls à ne pas croire en eux. Je pourrais vous citer pléthores de raisons, mais le sujet qui nous occupe, c’est celui des croyances limitantes qui empêchent un grand nombre de personnes de franchir les portes du commerce.

Alors une croyance limitante, c’est quoi ? Hé bien, par exemple, c’est un chat noir qu’il coupe, votre route représente un mauvais présage… Dès lors, il faut vous tirer les cheveux et vous signer de la croix pour conjurer le mauvais sort. Chez les gitans, peut-être, mais dans mon monde ce genre de croyance limitante n’existe pas. Il en existe bien d’autres, par exemple :

– Si je me lance dans le business et que je gagne de l’argent, mes amis ne me parleront plus… Cela arrivera sûrement si vous leur en mettez plein la vue, mais si vous restez égal à vous-même, il n’y a pas de raison. Il se peut aussi qu’ils vous tournent le dos pour des raisons tout autre, qui reposent sur un malentendu, des broutilles, un vieux dossier. Si en fait, il en existe une, c’est que vous refusiez de leur prêter ou devrais-je plutôt dire, donner de l’argent… À vous de voir.

– Mon mari vivra mal le fait que je gagne de l’argent. C’est difficile à croire, je pense surtout qu’il a peur de perdre une certaine emprise sur vous. Il est aussi fort possible qu’il craigne que vous preniez confiance en vous et que vous vous rendiez compte qu’il ne vous mérite pas. Il devrait se féliciter que votre réussite profite à tous les membres de la famille. À vous de voir.

Quoi qu’il en soit, vous ne devez pas réfréner votre envie de vous lancer dans le business pour faire plaisir à Pierre Paul ou Jacques. Vous ne devez pas avoir “honte” de réussir, vous ne devez pas non plus vous sentir gêné de parler de votre succès en affaires et le défendre contre vents et marées quand certains vous diront qu’il s’agit de la chance du débutant, que votre succès est louche, et que vous ne le devez sûrement pas à votre talent dans les affaires. Défendez-vous et arrêtez de vous défendre, pire, de vous justifier toutes les trente-six minutes. Jouer la gagne tout en faisant preuve de modestie pour ne pas pousser les autres au suicide ou leur donner envie de marcher dans vos pas. Quoi qu’il en soit, ne laissez personne vous pousser à vous remettre en question ou à vous déstabiliser. Je le dis et je le répète, les ondes positives sont nécessaires aux entrepreneurs, donc fuyez les gens jaloux, les gens envieux et tous les idiots susceptibles de vous empêcher d’atteindre vos objectifs. Définitivement ou momentanément, ce sera à vous de le déterminer, mais il faudra le faire le temps de donner vie à votre projet. Faites les choses avec tact, expliquer leur (ou faites leur comprendre) avec les mots appropriés qu’en cette période d’élévation de projet, ils ne représentent pas les compagnons de marche dont vous avez besoin à vos côtés. En effet, vous devez vous rapprocher d’entrepreneurs (pour ne parler que d’eux) qui sont dans la même dynamique, la même croyance que vous. Attention !! Je ne parle pas de croyances religieuses ou Dieu sait quoi, mais de croyances entrepreneuriales qui vous poussent à y croire encore et toujours plus. C’est important. Faites-le, car la peur et les croyances limitantes sont contagieuses.

Le mot de la fin.

Maintenant, soyez conscient de deux choses. Nous vivons dans une époque ou la réussite est souvent synonyme d’inégalité sociale, aussi je ne saurais trop vous recommander d’adapter votre attitude et votre langage en fonction des personnes et des lieux que vous fréquentez. Prenez garde aussi de ne pas faire l’apologie du consumérisme et d’en mettre plein la vue à ceux qui tirent le diable par la queue et pour finir arrêtez de scier la branche sur laquelle vous êtes assis en saoulant vos interlocuteurs avec des propos validistes du style ” Qund on veut on peut” ” à cœur vaillant rien d’impossible, “il n’y a pire que de ne pas avoir réussi, c’est de ne pas avoir essayé” etc. Pour finir, il n’est pas impossible que votre réussite vous fasse prendre conscience que le moment est venu de changer d’horizon, sous-entendu, que certaines relations ne sont pas faites pour durer, que l’amitié elle aussi ne résiste pas à l’usure du temps.

“Écoute, donne aux autres, apprend d’eux, mais reste toujours toi-même!.”

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Curriculum Vitae

VOTRE PHOTO DE PROFIL

La photo de profil

Que ce soit sur les réseaux sociaux, sur un curriculum vitae, un profil LINKEDIN, votre site internet, vous allez être tenu de publier une photo de profil. Alors tant qu’à faire les choses, autant bien les faire. Aussi, laissez-moi vous donner quelques conseils qui vous seront bien utiles pour ne pas vous faire recaler.


La photo Tuning ou si vous préférez, la photo retouchée.
Je peux comprendre que vous cherchiez à tout prix et à n’importe quel prix à cacher les valises Samsonite que vous avez sous les yeux ou bien ce méga bouton qui vous sort sur le front, mais un conseil, n’en faites pas trop, sinon, lors l’entretien d’embauche la D.R.H de l’entreprise risque de se faire une fausse opinion d’une recrue qui n’assume pas ce qu’elle est et joue avec les apparences. Personne ne prendra un tel risque… Souvenez-vous que sur les réseaux sociaux, les CV, les photos sont petites et donc que les imperfections ne sautent pas aux yeux.

La photo photomaton.
En deux mots. Laissez tomber !!

La photo ni oui ni non.
C’est celle qui ne vous met pas suffisamment en avant, mais qui ne donne pas envie de vous recaler. Je l’appelle la photo ni oui ni non, mais bien le contraire…


La photo team ou les copains d’abord. Généralement, c’est la photo où vous apparaissez dans un groupe d’amis, mais allez savoir pourquoi vous avez décidé de la publier comme photo de profil. À bien y réfléchir, c’est sûrement parce que vous n’avez pas compris que le sujet, ce n’est pas la photo, mais vous. À moins bien entendu, que vous voulez que le jour ou vous présentez face à votre futur employeur ou prétendant, ce dernier vous dise “désolé, il y a erreur sur la personne, ce n’est pas vous que je désire renconter, mais cette fille-là qui se trouve à vos côtés sur la photo…” Un peu de bon sens enfin !! Vous aurez tout le temps de démontrer que vous êtes sociable et bien entouré.

La photo “j’suis au bout de ma vie”
C’est la photo de profil qui fera bonne impression, mais qui vous rappelle de mauvais souvenirs et/ou une mauvaise période de votre existence. Tourner la page et changez de photo !!

La photo tout juste bonne.
Nous parlons de la photo prise par vos propre moyen et le moins qu’on puisse dire c’est que vous apparaissez sous toute vos coutures mais la photo ne transmet rien. Tout comme quand vous regardez par le judas de la porte, c’est flou… Alors je ne sais pas trop, si j’ouvre ou pas…


Photo psychorigide.
On ne vous demande pas de sourire comme la ravie de la crèche, mais décrispez-vous que diable !! Donnez de votre personne, souriez juste ce qu’il faut pour faire comprendre à ceux qui vous découvriront qu’ils ont tout à gagner à vous rencontrer. Si vous donnez cent à la photo, elle vous rendra mille.


La photo solo.
C’est la photo que l’on choisi sans savoir consulté son entourage proche. Combien de fois, vous êtes, vous entendu dire, “ je ne m’aime pas sur cette photo” ou bien alors, “c’est ma voix ça!!” Nous avons trop tendance à choisir la photo qui nous met sous notre meilleur jour, mais pas nécessairement celle qui reflète notre personnalité, notre dynamisme. Il est peut-être grand temps de vous en remettre à un conseiller en image.

La photo ad vitam æternam
Même si vous avez réussi à tirer la photo qui vous met en avant, ne commettez pas l’erreur de ne jamais changer de photo. Ne serait-ce que pour mettre plusieurs cordes à votre arc, mais aussi pour jouer la carte du changement d’une publication à l’autre. Ce sera un excellent moyen pour que les personnes vous découvrent et se rendent compte que votre vie et votre carrière évoluent. De plus, il faut savoir qu’une photo perd de son impact tous les douze mois. En effet, passé ce délai, vous ferez l’effet d’un meuble qu’on ne voit même plus sur la toile.

Le mot de la fin.
Investissez !! Vous cherchez à vous vendre sur le marché du travail, donner de vous l’image d’un entrepreneur digne de ce nom, voire, trouver l’âme sœur, alors partez du principe que la première impression est souvent la bonne. C’est pourquoi, je ne saurais trop vous recommander de mettre toutes les chances de votre côté en poussant la porte d’un photographe professionnel. Mais avant de vous rendre à la séance de shooting, passer une bonne nuit de sommeil, passez votre garde-robe en revue et choisissez la tenue adequate, prenez rendez-vous chez le coiffeur, l’esthéticienne, et le jour J arborez votre plus beau sourire. Votre carrière commence chez le photographe, aussi soyez pro et jouer le jeu du photographe qui saura mettre en avant votre personnalité. Après tout, c’est leur job non !?!


N’oubliez pas !! Si vous donnez cent à la photo, elle vous rendra mille.

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Écriture

CONDAMNER AU SUCCÈS. ACCÈS TOUT PUBLIC

Condamner au succès.

Que vous dire au sujet de ce livre!?! Pas grand-chose, si ce n’est que condamner au succès est le livre qu’il vous faut absolument lire et garder coûte que coûte dans votre bibliothèque. Pour m’en assurer, j’ai trouvé une astuce imparable qui consiste à ne pas le publier en livre broché. Pourquoi ? Hé bien, parce que le livre condamner au succès, ne mérite pas de finir sur une étagère. En effet, ce n’est pas le point de chute d’un livre qui permet au futur entrepreneur de comprendre le monde des affaires, il en va de même pour le salarié qui veut optimiser ses connaissances afin qu’on lui confie plus de responsabilités. Je pense aussi au conjoint et/ou aux membres de la famille qui de temps à autres aimeraient bien filer un coup de main au commerce, ou comprendre qu’elles sont les raisons qui font que (X) fait “la tête” et plus important, comment le soutenir. Ne serait-ce qu’en discutant… Le livre condamner au succès intéresse aussi tous ceux qui envisagent d’investir dans une société, mais qui n’entendent rien au commerce, et pour finir, il ne manquera pas d’intéresser tous ceux, qui savent qu’en matière de business, il est préférable de s’adresser à un qui sait, plutôt que cent qui cherchent la bonne information. Sans cette bonne information, il est impossible de prendre la bonne décision, par contre, il est très facile de commettre des erreurs…

Attention, il arrive que certaines d’entre elles se paient pour la vie…

En fait, si je devais résumer la promotion du livre en un court résumé, je vous dirais que le livre condamner au succès est comparable à une caisse à outils qui contient tous les outils nécessaires aux entrepreneurs pour bâtir leurs rêves. Il représente aussi un excellent moyen de trouver des réponses pour réussir dans le monde affaires, et c’est d’autant plus vrai quand on sait à quel point il est essentiel de connaître sur le bout des doigts, l’ensemble des erreurs stupides à ne pas commettre. D’où le sous-titre “ les 365 erreurs stupides à ne pas commettre dans le business.

La suite…

Alors maintenant, vous allez me demander comment m’est venu l’idée d’écrire ce livre!?!

C’est toute une histoire, est le plus sur moyen d’obtenir une réponse, c’est d’acheter la version premium de condamner au succès qui se décompose en trois tomes. Le premier, reprend l’ensemble des petites erreurs, qui misent bout à bout peuvent avoir un réel pouvoir de nuisance, vient ensuite le tour des grosses erreurs qui peuvent briser votre leadership, mais aussi la confiance que placent en vous vos partenaires, vos salariés, les investisseurs. Vient ensuite le tour des erreurs létales qui en un claquement de doigts peuvent vous renvoyer à la case départ, et parmi les erreurs létales, il met en lumière la plus redoutable de toute. Une fois chose faite, j’ai ressenti le besoin de continuer d’écrire dans l’idée de mettre à disposition du lecteur des commentaires sur des sujets importants, j’ai aussi pris sur moi d’offrir des bonus qui font du bien, j’ai aussi inséré des séquences de divertissements qui apparaissent comme des parenthèses qui donnent de véritables bouffées d’oxygène. Parfois, je déclenche les enfers en poussant des coups de gueule, alors, pour me faire pardonner, j’ouvre deci delà des liens internet qui vous dirigent vers NOTRE site internet où vous pouvez découvrir le pack entrepreneur qui a pour particularité de vous ouvrir en un temps record les portes du monde des affaires. 

Vous l’aurez compris, cet ouvrage a le mérite de dire tout haut, ce que beaucoup d’entrepreneurs “en place” et avare de leur savoir voudraient garder secret. Ne serait-ce que pour ne pas avoir à partager le gâteau… C’est une des raisons qui fait que j’ai décidé de partager mon expérience, mon analyse, mes hauts, mes bas (il y en a toujours), de sorte de donner à tous ceux qui veulent quitter leur zone de confort et pousser les portes du monde des affaires en mettant toutes les chances de réussir de leurs côtés. Vous savez, tout bien réfléchi, je ne pense pas me tromper en prétendant que la version premium de Condamner au succès, est l’équivalent d’une boîte à outils, mais à bien y regarder, c’est aussi la boîte de Pandore qui contient un ensemble d’informations qui une fois remis entre vos mains, vous permettront de prendre l’ensemble de vos décisions, non pas en votre âme et conscience, mais en toute connaissance de cause.

Avouez que cela fait une grande différence.

Maintenant, une question s’impose ? Est-ce qu’un bon ouvrier se déplacerait sans sa caisse à outils ? À vous de me le dire. En tout cas, une chose est sûre, se lancer dans le commerce sans détenir les bases, voir plus, cela revient à plonger en haut profonde sans prendre au préalable des cours de plongée. Autant dire que c’est suicidaire!! Ça l’est aussi pour le gars qui prend le volant d’une voiture, fait monter sa petite famille et prend la route sans posséder le permis. Pas bon pour le business!! Je voudrais aussi prendre en exemple le cas des entrepreneurs qui ont beaucoup trop tendance à se surclasser et qui décident de se lancer dans les affaires en prétendant apprendre sur le tas. Fut un temps pas si lointain, celui des années frime, fric, et gloire, c’était possible, mais les temps changent. Aujourd’hui force est de constater que le commerce se professionnalise, a tel point que ce n’est carrément plus possible… Le moins, qu’on puisse dire, c’est que la barre est haute, et si vous voulez la franchir il faut que vous considériez votre esprit comme une arme qu’il est nécessaire de maintenir chargé en permanence.

La connaissance est un butin qui reste à tout jamais votre propriété, ce qui m’amène à dire qu’apprendre, c’est bien. Mais si par la même occasion, vous pouvez vous divertir, c’est mieux. C’est pourquoi, dans l’idée de maintenir un contact (quasi) permanent avec le livre condamner au succès, il m’est venu l’idée de glisser 365 dictons en relation avec le monde des affaires. Trois cent soixante-cinq dictons, (près de 400 avec les bonus) c’est donc un à consulter chaque jour. Certains d’entre eux motivent, d’autres vous sortiront un sourire, et les plus marquants ne manqueront pas de vous rappeler que dans le monde des affaires, les pertes des uns sont le bénéfice des autres. C’est une triste réalité, mais il faut savoir que dans le business, c’est de bonne guerre.

Une guerre dont vous reviendrez vivant, si, et uniquement si, vous ne commettez pas d’erreur.

Je n’ignore rien des questions que vous vous posez, des angoisses et des attentes qui sont les vôtres. Je me doute bien que vous avez frappé à toutes les portes pour obtenir des réponses, qui ne sont jamais venues. Sachez que c’est un moindre mal, en effet, sans même vous en rendre compte vous auriez pu tomber sur des personnes malhonnêtes qui n’auraient pas hésité un instant à vous faire sourire pour mieux vous voler vos dents en or. Sous-entendu, s’emparer de votre idée que vous n’aurez pas su protéger au préalable. Pourquoi!?! Parce que tout porte à croire que vous ignorez tout de la procédure. Par contre, dites-vous bien qu’il existe des aigres fins qui n’ignorent pas que c’est l’idée qui fait l’argent et non pas le contraire. Loin de moi l’idée de me faire l’avocat du diable, mais il est vrai que durant des années, si vous m’aviez demandé un conseil, il n’est pas exclu que je n’aurais pas daigné prendre le temps de vous répondre. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que je ne suis pas une auto-école, et parce que comme tous les commerçants, “je n’avais rien à cacher, mais beaucoup à protéger…”

Vous avez besoin de réponses, de suggestions, peut-être même qu’on vous balise le terrain. Vous allez investir du temps dans votre projet, des ressources financières, de l’énergie et vous ne voulez pas échouer. Pour être moi-même passé par là, je vous comprends, toutefois, je ne peux pas vous promettre qu’après avoir lu la version basique du livre condamner au succès, vous obtiendrez un 100 % de réussite. Faire une telle promesse, reviendrait à insulter votre intelligence, ce serait du charlatanisme. Par contre, ce que je peux vous promettre, c’est que tous ceux qui liront ce livre n’ignoreront plus rien des erreurs stupides à ne pas commettre dans le business. Autant dire que vous prenez un bon départ, comme disait mon mentor, les fondations sont solides, il n’y a plus qu’à dresser les murs.

Dresser les murs, c’est du travail, beaucoup de travail, et n’attendez pas que je le fasse pour vous. J’ai fait ma part, à vous de faire la vôtre. Pourquoi pas en lisant la version premium qui comme vous le verrez est très facile à lire. Il n’y a pas d’expressions qui viennent d’un autre monde, vous trouvez des exemples, des anecdotes qui vous placent dans le contexte de sorte que rien ne vous échappe. Il est vrai que parfois, il m’arrive de me répéter, mais c’est parce que vous verrez que dans le monde du business, suivant les niveaux, les mondes s’entrechoquent, il existe des vases communicants qui vous obligent à vous adapter. En ce qui concerne le livre, soyez assuré que chaque fois que vous tournerez une page, vous apprendrez encore et encore. Vous apprendrez, vite, très vite, et grâce aux illustrations, vous tirerez de rapides bénéfices de la lecture du livre…

Le double effet “Kiss cool” du livre condamner au succès, c’est qu’une fois que vous aurez lu les trois tomes, vous vous apercevrez que vous n’êtes plus seul. Pour vous en persuader, il vous suffit de visiter notre site internet et de surfer sur la rubrique SERVICES, vous vous rendrez compte, que je n’ai pas fait les choses à moitié. En effet, vous avez à votre disposition un lieu de rendez-vous, un “meeting point”, sur lequel vous trouverez des offres qui vous permettront de créer votre entreprise en un temps record, tout en surfant sur un modèle économique, qui n’a plus besoin de faire ses preuves. 

Il existe bien d’autres avantages que je vous laisse le soin de découvrir.

À propos de l’auteur.

Je suppose que mon patronyme ne vous a pas échappé. BAZIN, comme l’écrivain Hervé Bazin, mais ça n’a rien à voir. Il n’empêche que depuis ma prime enfance, je me suis toujours senti plus attiré par les lettres que par les chiffres. Aux dires de mes professeurs, mes habilités à manier les mots, et cette pré disposition qui est la mienne à toujours vouloir pousser les portes pour voir ce qui se trouve derrière, me destinait à une carrière dans le journalisme d’investigation… Le destin, des évènements familiaux, et disons le clairement, le fait qu’étant jeune je n’ai raté aucun rendez-vous avec la connerie ont fait de moi un faux self qui s’est détourné d’un chemin tout tracé. Par chance, j’ai fini par me rattraper aux branches en embrassant une carrière dans le commerce. J’ai eu de “la chance”, mais aussi du talent, un grand vouloir et une soif de réussite qui m’ont permis de surmonter tous les obstacles et de réussir au-delà de mes expectatives.

Tout le monde ne peut pas en dire autant…

Le business, les affaires, c’est ma passion, et ce, depuis mon plus jeune âge. J’ai toujours su que c’était ma voie, c’est du moins ce que je me suis pensé après avoir fait mon premier marché aux puces à l’âge de 14 ans. Ce jour-là, j’ai pris la foudre, ou devrais-je plutôt dire, ce fût un véritable “coup de foudre”, dès lors, pour me faire quatre sous, je n’ai reculé devant rien. Pour la petite histoire, il faut savoir que lorsque ma mère faisait les courses au supermarché, sans vergogne, je lavais les vitres des voitures sur le parking de Mammouth. Durant la fête des morts, je remplissais ma carriole et je portais les pots de fleurs des stands des marchands jusqu’aux tombes des défunts qui avaient élu domicile au cimetière Saint-Lazare de Montpellier. Tout était bon pour se faire un billet.

À vingt-trois ans, je suis papa d’un petit garçon âgé de deux ans, je pousse officiellement la porte de la chambre de commerce, et c’est avec la boule au ventre que j’ouvre mon premier magasin. Le moins, qu’on puisse dire, c’est que les tout premiers débuts sont difficiles, mais je n’ai pas d’autres choix que de m’accrocher comme la misère sur le pauvre, pour tout vous dire, je suis affamé de réussite, ou devrais-je plutôt dire “condamner au succès”. Je sais que si j’échoue, je devrais revenir la queue entre les jambes chez mes geôliers… Même pas en rêve!! C’est pourquoi, j’ai relevé tous les défis, tout en essayant de commettre le moins d’erreur possible, j’ai retenu les leçons à retenir et me suis fixé pour mission de combattre toutes les peurs et les angoisses que connaissent les entrepreneurs quand ils se lancent à corps perdu dans le commerce. J’ai fait preuve de curiosité, d’ingéniosité, de malice, de bravoure, parfois d’insouciance. Résultat des courses, à l’âge de vingt-six ans, je me retrouve à la tête d’une entreprise florissante qui administre six magasins de prêt-à-porter. Je suis le boss, qui durant plus de quinze ans se retrouvera à la tête d’une équipe de vingt-cinq employés. Mais je m’ennuie, j’en veux plus, bien plus!! C’est pourquoi je pars en Asie, et là, c’est l’éclate!!

Le business man, l’homme de terrain, l’entrepreneur que je suis, a remporté de belles et grandes victoires dont il peut s’enorgueillir. Mais il a aussi vécu des événements qui l’ont obligés à traverser l’huile et l’eau bouillante, c’est pourquoi, il ne lui viendrait jamais à l’idée d’insulter votre intelligence en essayant de vous faire croire que ce fut un jeu d’enfant de se faire une place au soleil dans le monde des affaires. Bien au contraire!! Il a fallu pousser des coudes, tenir la position coûte que coûte, et tout apprendre des 365 erreurs stupides à ne pas commettre.

La conclusion

Certains bêta-lecteurs m’ont ouvertement dit que mon livre, condamné au succès, est d’utilité publique, sur le ton de la plaisanterie, certains sont même allé jusqu’à insinuer que cet ouvrage fait partie des livres qui devraient se vendre autant que la bible. Sachez une chose, en ce qui me concerne je n’ai plus rien à prouver, je ne fais pas non plus parti des auteurs, des individus qui placent leur ego dans un livre ou un nombre de commentaires. SI je suis attaché aux commentaires, c’est parce que quand ils sont bons, généralement, ils incitent d’autres lecteurs à acheter le livre, et donc je gagne plus d’argent, et si je gagne plus d’argent, ce n’est sûrement pas pour l’investir en connerie, mais pour monter des projets toujours dans la même veine. Pour faire court, quand c’est bon pour moi, c’est bon pour vous et c’est bon pour l’ensemble dont nous faisons tous parti.

Le mot de la fin.

Tout comme vous, le premier tiers de mon existence, je dépendais de l’autorité parentale. Le deuxième tiers, je suis devenu chef d’entreprise et ce sont les autres qui ont dépendu de moi. J’attaque le troisième tiers et je ressens le besoin de rendre sous quelques formes que ce soit à ce métier qui m’a tant donné.
Que ce soit la version basique ou la version premium composée de trois tomes, le livre condamner au succès, est l’ouvrage que j’aurais aimé qu’on m’offre quand j’ai démarré dans le business. Cela m’aurait évité de faire des erreurs, qui m’ont fait perdre du temps.

J’ai eu de la chance, j’ai réussi, mais tout le monde ne peut pas en dire autant.

Le livre

NO COMMENT.

 

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