Lorsque deux individus font un pari, il y a souvent un “voleur” et un volé…
Sachez un chose, en ce qui me concerne, dans le business je n’ai pas pour habitude de travailler à perte. Je ne travaille pas pour le simple plaisir de m’entendre dire, “je fais du busines en Colombie”. Je suis persuadé qu’il en va de même en ce qui le chef d’entreprise qui fait appel à mes services et/ou achètera des produits en provenance du continent Américain.
En qualité de chef d’entreprise, soucieux de maintenir sa structure à flot, je ne doute pas un instant que vous refuserez de vendre à perte, et ce n’est surement pas moi qui vous en ferez le reproche. Mais alors, si ce n’est pas moi qui perds et si ce n’est pas vous qui êtes le “dindon de la farce?” qui aura toutes les raisons de se plaindre. Hé bien, c’est très simple, ce sera le consommateur qui in fine trouvera la facture salée…
Seulement voilà, il ne faut surtout pas commettre l’erreur d’oublier que le client à le droit de vie ou de mort sur chacune de nos actions commerciales. In fine, c’est lui et personne d’autre, qui décide si le prix est juste ou pas… Raison pour laquelle, il doit être notre principale préoccupation.
En l’état actuel des choses, ce n’est pas envisageable, où devrais-je plutôt dire, pas possible. C’est pourquoi, il faut attendre, mais attention!! Attendre ne signifie qu’il faut rester les bras croisés. Dans mon vovabulaire, attendre signifie, préparer le terrain.
Pour quelle raison? Parce qu’il y a du grain à moudre, et ceux qui me connaissant, savent que je ne plaisante jamais. En tout cas, jamais avec le travail…